Karam, à votre service pour vos sévices.

Mon aventure commence avant ma naissance, lorsque mon père a connu ma mère. Tarek Al Delkhalek, cousin de l’ancien Émir de Dubaï, croise alors ma mère, membre de l’aristocratie Russe. Ensemble, ils ont un premier enfant, mon grand frère Ziad, de six ans mon aîné. Ça c’est la version officielle, car en réalité, il est le fils d’une maîtresse de notre père. Techniquement, je suis l’un des premiers enfants de ma mère, qui donna naissance à deux jumeaux, Khalis et moi. Doux ans plus tard née Kheira. Pendant les douze premières années de ma vie, je n’ai manqué de rien, vivant dans une famille puissante du pays. J’ai été très proche de mes deux frères Ziad et Khalis, d’ailleurs Ziad était là aussi pour nous recentrer mon jumeau et moi. Le Palais Royal était notre terrain de jeu, exploitant mille et une manière de nous amuser, de faire des bêtises. Cette aventure n’aura pas duré longtemps car mon père alors que j’étais âgé de six ans m’enleva mon jumeau pour le mettre entre les mains protectrices des Imams. J’en ai terriblement voulu à notre père, ne comprenant pas sa décision. Je n’étais qu’un petit garçon. Se faire arracher un frère est terrible, encore plus quand il s’agit d’un jumeau, quelqu’un qui, a grandi en même temps que soit dans le ventre protecteur et aimant de notre mère. Après cet évènement, je me suis beaucoup rapproché de mon grand frère, il est devenu mon meilleur ami, mon confident. C’est auprès de lui que j’allais confier mes ressentiments sur notre père. Il m’a toujours gardé sous son aile les six années suivantes jusqu’à la naissance de Kheira. La première fille de nos parents. J’avais douze ans et j’étais déjà accro à ma petite sœur. Je me prenais pour un grand, disant à ma mère “attention maman sa petite tête”. On retrouvait une sorte d’équilibre dans la famille, j’étais grand frère, protecteur et aimant. Je jouais avec elle à la poupée et elle jouait avec moi à la console vidéo. Quand elle avait cinq ans et moi dix-sept ans, nous avions affronté ensemble un nouveau départ, celui de Ziad qui quittait Dubaï. Une séparation que j’ai encore très mal vécue, perdant de nouveau un frère. Mais cette fois, c’était son choix que de partir. À dix-sept ans, j’étais un homme, je n’ai pas pleuré son départ comme j’ai pleuré à celui Khalis. Je n’ai jamais connu la vraie raison, du moins, jamais je n’ai su à ce moment-là que notre père et lui ne faisaient que de s’engueuler. Ziad voulait voyager alors il est parti. C’est à cet instant, que je suis devenu encore plus protecteur envers Kheira, je ne restais que son dernier frère de présent. J’avais pourtant aussi mes propres études de mon côté à faire et pour ça, j’ai moi aussi quitté le Palais Royal, m’envolant en Russie. La Russie était pour moi un choix logique, je parlais déjà parfaitement la langue et je voulais également découvrir le pays de ma mère, connaître ma famille de son côté. Je n’ai donc eu aucun frais d’hébergement, logeant chez sa sœur donc ma tante. J’y suis resté deux ans et durant ces deux ans, j’ai eu de plus grandes ambitions. Je voulais étudier en Amérique ! Je voulais moi aussi découvrir d’autres horizons, prenant exemple sur ce qui pour moi, étant mon seul véritable modèle masculin, Ziad. Je n’avais pas vraiment de nouvelle de Khalis, malheureusement, mais j’ai de très nombreux cousins, cousines, tantes, nièces etcétéra. Les Al Delkhalek sont une très grande famille après tout. Une fois sur le sol Américain, je poursuis mes études et en parallèle, je suis membre de l’équipe de football de Manchester City. C’est après l’un de mes matchs que je fais la rencontre de Zayane Al Thani, à l’époque, petite amie d’Aksel.

J’entretiens avec elle une liaison et même si je sais qu’Aksel et elle sont ensemble, ça ne me pose aucun problème. Il a beau être mon cousin, il est bien loin de moi. Mais je ne me laisse pas distraire par Zayane, je travaille sérieusement pour l’obtention de mon diplôme. Je ne veux pas être un moins que rien, sans bagage ni rien dans le crâne. Mon ambition brûle en moi, j’ai soif d’apprendre, de me cultiver afin d’être un Prince digne de ce nom, qui obtient les choses avec la sueur de son front et non pas grâce à son nom de famille. Je ne suis pourtant pas un homme qui ne sait pas se servir de sa queue. Bien sûr, j’en ai baisé des femmes malgré ma liaison avec Zayane. J’ai goûté à tout, aux minettes de dix-huit ans et aux femmes mûres de cinquante ans. Il faut goûter à tout pour savoir ce qu’on aime ou non dans la vie. J’ai eu ma première expérience BDSM à vingt et un ans, après qu’une femme m’ai demandé de la soumettre. J’ai d’abord refusé, elle a insisté, jusqu’à ce qu’une dispute éclate, qu’elle me gifle. Je l’ai giflé en retour et c’est à ce moment précis, qu’elle a jouie. La gifle l’avait terriblement excité alors que j’étais remonté à bloque contre elle. J’ai donc cédé, je l’ai prise avec force et brutalité. Je l’ai attaché, je l’ai frappé et elle en voulait encore. Cette expérience m’a plu et donc, je suis restée avec elle, me perfectionnant au fil du temps. Au même moment, on apprend qu’Aksel devient le nouvel Émir de Dubaï et il rompt avec Zayane. Je réponds présent pour la consoler. Je parle énormément avec elle, je lui propose des sorties et bien entendu, je la nique comme la chienne qu’elle est. Ça n’ira jamais plus loin, elle n’est pas prête pour être avec moi officiellement. J’accepte sa décision, de toute manière, je lui casse déjà le cul et le vagin, j’expérimente sur elle ce que j’ai appris avec l’autre femme. Zayane est une véritable putain, une salope, une chienne en chaleur qui n’arrête pas de gicler. Nos moments ensemble sont inoubliables. J’obtiens haut la main mon diplôme mais entre temps, je perds Zayane de vue, elle est devenue Émir du Qatar et a quitté l’Amérique.

J’entre dans la vie active directement après avoir reçu mon diplôme. Je m’intéresse tout particulièrement au club de football qui a vu mes débuts en tant que joueur. Je m’y investi à fond, grimpant les échelons jusqu’à en devenir le président. Très connu en Occident ce qui m'apporte beaucoup de popularité et de notoriété dans le monde entier. Un drame familial vient entacher mes ambitions, j’apprends la mort de mon frère jumeau lors d’un attentat terroriste ce qui me pousse à quitter l’Amérique pour rentrer chez moi. La nouvelle m’a effondré, je me suis retrouvé à terre et ma rage envers mon père n’a fait que grandir à tel point qu’une violente dispute a éclaté. C’est ma mère qui m’a empêché d’en venir aux poings avec lui. Nous allons enterrer Khalis et je retrouve Zayane. À son tour elle me réconforte dans mon deuil, je n’ai jamais oublié ses capacités et elle sait en jouer. Elle m’allume, elle me chauffe, elle veut baiser mais à sa manière, me proposant d’être son soumis. J’accepte, me disant qu’encore une fois, il faut goûter à tout mais les choses vont m’échapper. Elle m’a attaché, ça je l’ai supporté mais elle m’a arraché avec violence ma virginité anale. Je lui ai pourtant dit d’arrêter, mais elle a persisté, faisant naître en moi une haine indescriptible envers elle. Je ne l’ai jamais revu mais j’ai été heureux d’apprendre sa mort. Je suis même allé à son enterrement, crachant sur son cercueil pour le mal qu’elle m’avait fait. Peu importe si ce geste était mal vu. Cet attentat terroriste, j’ignore qui l’a commandité, mais je crois que si je savais qui en était le responsable, je saurais le remercier chaleureusement pour avoir tué cette traînée. C’était tout ce qu’elle méritait après tout ce que j’avais fait pour elle !

Entre temps, il y a eu des discussions pour l’ouverture mais surtout, la création d’un harem en plein milieu du désert. J’ai longuement discuté avec Aksel de tout ça, j’ai assisté à sa monté en puissance. Tout avait été méticuleusement bien pensé. J’ai été inaugurer l’ouverture du harem en me prenant plusieurs esclaves. Depuis ce qu’il m’est arrivé avec Zayane, je ne supporte plus qu’une femme touche mon cul, que ce soit pour me le caresser ou même simplement s’y maintenir en plantant ses ongles dedans durant une culbute. Je perds le contrôle, je deviens violent si on y touche. L’évènement m’a complètement traumatisé. Il peut arriver pourtant que j’accepte de me soumettre sous certaines conditions. Je passe beaucoup de temps au harem, je m’y sens bien, je profite. Mes esclaves sont parfaites mais mon passé me rattrape un jour, en voyant un reportage à la télévision. Sur la communauté LGBT, une femme portant la rose de Zayane. Mon sang ne fait alors qu’un tour et je vais ordonner à un garde rabatteur de kidnapper cette femme qui a osé me faire cet affront en incluant la petite amie de cette dernière afin de me servir d’elle contre l’autre. Mon ambition me dit qu’il est temps pour moi de devenir le nouvel Émir de notre pays, mais aussi, cette idée a pris tout son sens en voyant qu’Alma était la copie conforme de Zayane. J’allais pouvoir me servir d’elle. C’est à cause de sa ressemblance avec elle que je me montre extrêmement cruel face à elle, mais sans jamais toucher à sa virginité. Les vierges sont le point faible de mon cousin alors entre ça et le fait qu’elle ressemble comme deux gouttes d’eau à Zayane, ça me servira pour ma lutte contre Aksel. J’ai fait d’Aida mon esclave pour avoir un moyen de pression sur Alma, lui disant que si elle ne m’obéit pas, alors Aida sera celle qui en subira les conséquences. Je connais par coeur le corps de chacune puisque je baise sans remord Aida et tout à fait entre nous, j’aime ça. Elle n’est pas en reste non plus, Aida en redemande constamment, prête à me satisfaire. C’est avec Alma que je suis pourtant le plus dur, je lui fais subir sa ressemblance avec Zayane. Je la marque, je me sers d’elle comme mon jouet en l’impliquant dans une mission d’espionnage vers Aksel. Elle doit me rapporter tous les faits et gestes de ce dernier afin de le tuer le moment venu.

Je sais me montrer convainquant, disant aux femmes que je pourrais leur offrir ce qu’elles veulent si elles se donne à moi corps et âme. J’ai un petit péché mignon, un faible... J’adore en torturer une, la baiser sous les yeux de l’autre puis je laisse la seconde entrer en piste. Quand je les ai toutes les deux en même temps, c’est le pied total. J’adore les soirées mondaines, j’y vais très souvent et j’y emmène ma petite slave. On a promis ma main, il y a des années, mais je ne m’en suis jamais occupé. Je profite des esclaves quand je le veux, comme je le veux sauf que... Les choses se sont brutalement accélérées. On a conduit ma promise au harem. Je ne la connais pas, j’ai juste entendu parler d’elle et je vais devoir la rencontrer ici. Je m’adapterais, le moment venu afin de savoir qui elle est et ce qu’elle pense de ce mariage entre nous. Avoir son avis m’intéresse sincèrement. Je sais que cette union est devenue primordiale pour sa famille depuis qu’Aksel est l’Émir, alors affaire à suivre. Cependant, si nous nous marions, je ne renoncerais pas à mes deux jouets favoris. Si ma future épouse n’acceptait pas de se soumettre, ça ne serait pas un si grand problème car j’ai Alma pour ça. C’est elle qui encaisse d’avantage qu’Aida, elle qui est plus douce que sa petite amie. Ce mariage ne sera certainement pas un mariage d’amour, alors elle pourra à sa guise, aller voir ailleurs. Mais ça, c’est ce que je me dis aujourd’hui. Qui sait ce que l’avenir nous réserve ? Je vais peut-être tenter de l’amadouer, de la séduire si elle me plait réellement.