Son Altesse, Commandeur, Emirs des Emirs, Prince de la nation, Aksel Al Delkhalek

Aksel Al Delkhalek est un homme de pouvoir, une personne qui aime être admiré et glorifié. En tant que chef suprême des Emirats Arabes Unis, c’est un homme occupé qui ne supporte pas qu’on lui fasse perdre son temps. Possessif, il a tout ce qu’il désire et peu importe si c’est un objet ou une personne, il fera tout pour l’obtenir. Sa dernière lubie porte un nom… Alana N. Warren, il veut la faire sienne et peu importe si elle le déteste, elle devra se plier à sa volonté. Hormis cette demoiselle, Aksel partage volontiers ses partenaires avec ses frères et s’il a créé le Harem, c’est avant tout pour satisfaire ses propres désirs. C’est un homme impatient qui ne supporte pas qu’on lui dise « non », ses colères traversent parfois le désert et sont redoutables. C’est un dirigeant froid et dictatorial qui ne supporte pas que l’on remette en cause son autorité de monarque divin. Major de promotion à la célèbre université de Cambridge, c’est un fin stratège, aussi bien en politique qu’au niveau personnel. Son seul et unique talon d’Achille réside dans le fait que sa mère biologique l’a adopté malgré son rang, il en garde une profonde cicatrice et souhaite épouser la femme parfaite, pour le moment, elle se prénomme Alana mais il compte bien la tester et la torturer pour vérifier qu’elle est bien celle qu’il désire depuis toujours. Ayant vécu une jeunesse difficile, entouré d’un père violent et incapable de l’encourager, il manque clairement de diplomatie lorsque l’on évoque son passé devant lui. Il peut parfois faire preuve de tendresse mais ne l’assumera jamais, il se sent finalement pas si bien dans sa peau qu’il semble pourtant le montrer devant tout le même, y compris devant ses frères. Il se refuse à prendre une esclave autre que Alana mais n’hésite pas à collectionner les aventures et les maitresses. Est-ce pour la rendre jalouse ? Peut-être…

Cette partie est facultative. N'hésitez pas à écrire si votre personnage a des signes particuliers comme : Cicatrices, tatouages, tailles, le poids et autres.

« A genoux devant ton Commandeur » J’aime entendre cette phrase dans la bouche de mon chef du protocole. Je ne peux m’empêcher de ressentir un frisson d’excitation lorsque la personne en face est obligée de s’y plier et davantage lorsqu’il s’agit de mon frère Khalid. Mon frère est une partie de moi et je me suis toujours montré très protecteur avec lui bien que nous sommes de mère différente. En effet, je suis née à Dubaï, d’une mère indigne qui préféra m’abandonner, se refusant d’assumer son rôle de support maternel, n’acceptant pas d’être la mère du futur Emir. En tant qu’ainé cette place est la mienne depuis le jour de ma naissance. Ma génitrice est morte lorsque j’avais quatre ans. Je n’ai absolument aucun souvenir d’elle et bien que je ne le montre pas, cet abandon est ma principale faiblesse. Comment a-t ’ont pu m’abandonner ? Moi Aksel Al Delkhalek ? Moi le prince des princes, l’émir des émirs, le descendant suprême de la famille Al Delkhalek. A la place de mon père, je l’aurais fait exécuter en place publique pour pareil affront mais c’était un romantique… Et un coureur de jupon invétéré. Au point que ma défunte mère fut rapidement remplacé par une aristocrate d’origine arabe et britannique, Dalya Al Andalusî un an plus tard. J’étais un petit garçon et si au départ je n’acceptai pas d’avoir une remplaçante, j’ai rapidement appris à l’aimer comme ma mère et c’est ainsi que je la considère encore aujourd’hui.

Elle ne tarda pas à enfanter, un second garçon et si ma place de futur prince n’était pas remise en question, je fus très heureux d’avoir un petit frère de six ans mon cadet. Khalid est et sera toujours mon bras droit et bien que nous découvrirons plus tard un dernier frère, notre relation est forgée dans le marbre. Pourtant et malgré mes désirs d’enfant, je ne passai pas énormément de temps avec lui, éduqué à la dur, à la perfection, recevant les meilleurs percepteurs à mon bureau, des gens possédants des prix Nobels en mathématiques, physiques, sciences politiques, économies, littératures. Mon père y ajoutant les coups de bâtons lorsque mes têtes descendaient en dessous de 19/20. Il était doux avec ses maitresses, ses concubines, son épouse mais avec moi, il était le visage du mal, de la souffrance, des cris et des pleurs. Je ne peux pas dire que j’ai eu une enfance heureuse, tentant de survivre aux dictats de mon géniteur. Pourtant, malgré la brutalité de cette éducation, il y eu de bons moments avec Khalid et avec ma mère mais bien trop peu. Heureusement, je partis à l’étranger pour mes études après la fin de ce qui s’apparente au collège. Direction L’Angleterre de ma seconde mère, les palais fait d’ors et de de pierres précieuses laissèrent leur place à un blanc immaculé appelé « épuré ». Le mobilier moderne remplaçant les trônes et le bleu du ciel de mon pays devenant gris et pollué. Si vous pensez que pareils changements ont pu me bouleverser, vous avez raison mais je m’y suis rapidement habitué. Le fait de ne plus avoir mon père sur le dos valant tous les palais au monde. Je fus rapidement accepté à l’université de Cambridge, considéré comme la meilleure école au monde depuis des années, étudiant l’économie et les sciences politiques ainsi que l’art musulman.

Je n’ai jamais été pratiquant, je laisse le titre de commandeur des croyants à Mohamed VI, j’ai reçu bien évidemment les enseignements religieux mais je ne crois pas en grand-chose et surtout pas à une entité supérieure. Cela, je le garde pour moi et respecte le protocole. J’ai découvert au cours de ma vie anglaise qu’il y avait quelque chose de bien plus intéressant que de prier… Les femmes… Je garde d’excellents souvenir de ma première fois avec cette étudiante en droit et les fois suivantes avec d’autres, issue de tous les milieux. Je n’ai jamais caché ma lignée royale à mes camarades et les gardes du corps qui m’attendaient à la sortie des amphithéâtres le leur rappelait continuellement. Je me suis même tapé Kate Middleton mais chut, ça c’est un secret, ne dites rien à William. Après mes études, je suis entré dans une société de conseils aux politiciens du monde entier en tant que directeur adjoint. Certains voyaient en moi le futur du monde musulman, un modéré qui instaurerait les droits de l’homme dans mon pays. Lorsque j’eu 22ans, mon père m’annonça au téléphone qu’il venait de me fiancer avec une gamine de douze ans. Etais-ce une plaisanterie ? Etions-nous au moyen âge ? Combien de temps allais-je devoir attendre pour la faire mienne ? Il n’était pas question que je l’épouse et les derniers mots que j’eu à l’adresse de mon père furent les suivants « je te déteste. » Alana était certes la sœur de Elyas, mon meilleur ami, ce n’était pas une raison et d’ailleurs, c’était dérangeant vis-à-vis de notre amitié. Je l’avais déjà vu gamine, elle était très mignonne mais tout le monde sait que les beautés du primaire le restent rarement. Je ne suis jamais rentré chez moi au palais, bien que je rentrai de temps à autre au pays voir mon frère qui ensuite vint me rejoindre en Angleterre et mon pote jusqu’à l’annonce du décès de mon père.

Dans le jet privée qui me conduisit vers mon futur, je repensais à la dernière chose que j’avais dit à mon père il y a trois ans… « Je te déteste… » Comment l’avait-il pris ? Qu’avait-il ressenti ? Avais-je été trop dur avec lui sachant que quelques mois après, les fiançailles furent rompues. C’est ainsi que je devins Emir des Emirats Arabes Unis. Un règne qui débuta de manière assez brutale étant donné que je décidais de durcir les lois qui régissait le pays. L’ONU me fit bien quelques remarques mais une menace de la flambée du baril de brut suffit à leur faire comprendre que je ne serai pas un pantin mais un dirigeant qui compte. Pour contrôler son peuple, il doit comprendre que la personne qui en a la tête est puissant et fort. J’ai vu assez de jeunes émirs renversés par leurs oncles que je décidais de congédier les miens, laissant les reines du pouvoir entre mes mains et celles de Khalid.  

Pourtant, peu de temps après mon couronnement, on me confia une lettre de mon père, écrite peu de temps avant sa mort. Je pris le temps avant de l’ouvrir, presque une semaine, perdu entre l’envie de savoir et le besoin de tirer un trait sur cet homme violent qui ne m’avait jamais témoigné la moindre marque d’amour. Finalement, un soir, après avoir revu l’une de mes maitresses les plus désirables, que j’avais rencontré à New York et revu en Russie et répondant au doux prénom d’Elena, je décidais, seul dans ma chambre, de l’ouvrir. Je fus assez surpris du contenu. A aucun moment mon père ne s’excusait ou même me reprochait mes mots. Ils semblaient lui avoir passer au travers et je faillis déchirer le papier quand je compris ce qu’il voulait. Ainsi donc, j’avais un autre frère prénommé Lazhar Stark, améircain de naissance et il voulait que je noue des liens avec lui ? Mais pour qui se prenait-il ? Lorsque j’en parlais à Khalid il prit cela à la plaisanterie mais lorsque je pris le temps de réfléchir, je compris que laisser un potentiel héritier était dangereux. Si jamais une nation occidentale souhait renverser notre pays, elle aurait quelqu’un à mettre sur le trône sans risquer une révolte populaire. Je préférais l’avoir avec moi plutôt que contre moi et c’est ainsi que nous partîmes pour le rencontrer à New York.

Je n’avais pas l’habitude de me prendre une porte à la tronche et c’est ce qu’il se passa lors de notre première rencontre. Etrangement, je restai d’un calme olympien, me refusant d’exploser dans ce pays qui n’était pas le mien. Heureusement que je ne l’avais pas rencontré sur place ou je l’aurais fait torturer jusqu’à obtenir son approbation. Je lui proposais alors un test ADN dans trois laboratoires différents afin de s’assurer de son lien fraternel. Après tout, il était comme Khalid, même père mais de mère différente, nous avions ce même lien qu’avec celui que je considérais presque comme mon égal. Il nous fallut plus de deux mois pour convaincre Lazhar de nous suivre mais également pour moi, pour commencer à réellement l’apprécier. Il avait l’entêtement de notre père mais il nous ressemblait tellement que s’en était troublant. Bien évidemment, je ne put compter sur Khalid pour m’aider puisque Monsieur préférait se taper une rouquine que de m’aider a définitivement convaincre notre nouveau frère. Ce qu’il faisait ne me regardait pas, je restais le seul maitre à bord et question décision c’était à moi d’agir. Peu à peu je réussis à le convaincre et nous rentrâmes tout trois aux Emirats Arabes Unis, offrant à notre nouveau frère un titre égal à celui de Khalid. C’est ainsi que commença réellement notre vie au palais et qu’enfin j’eu le droit à un peu de repos. Les principales réformes étant passés, l’ONU me lâchant, je pouvais me consacrer à ma seconde passion, les femmes ! J’ai eu de nombreuses concubines, je dois le dire et je n’hésitais pas à me les taper à longueur de journée ou à réclamer une fellation pendant que je devais signer des centaines de papiers administratifs. Un jour, que j’étais en entrevue diplomatique avec une ambassadrice espagnole qui s’était plutôt transformer en confrontation sexuelle, dominant cette salope qui avait osée me dire que nous étions un peuple d’arriéré, mon frère Khalid débarqua pour me demander mon avis sur un contrat épineux sur lequel je lui avais demandé son avis. Croyez-vous que j’ai arrêtez ? Plutôt rêver, non j’ai user de mon autorité, lui ordonnant de rester. Il vous dira surement que je lui ai proposé de me rejoindre mais la vérité est bien plus sordide, il a bien patienté avant cela. J’ai dû la faire jouir deux ou trois fois avant d’effectivement, lui proposer de nous rejoindre et de laver l’affront en famille.

J’ai ensuite régulièrement partagés des femmes avec Khalid puis avec Lazhar et enfin tous les trois après cette fameuse soirée piscine que mon frère raconte si bien. Il nous est rapidement apparut que nous partagions une sorte de passion pour la domination et c’est ainsi que naquit cette idée de créer un Harem en plein milieu du désert afin de laisser libre cours à nos envies lubriques. Khalid en fut le principal artisan que ce soit dans son fonctionnement ou encore dans le recrutement des gardes. Il était clair et net dès le départ que nous pourrions avions des invités qui pourraient eux aussi se choisir des esclaves tout en restant dans le principe qu’aucune ou qu’aucun ne leur appartient et qu’ils restent la propriété du Harem. Si jamais, il nous faut renvoyer un tortionnaire, alors ce sera seul. Nous pouvons faire enlever qui ils souhaitent mais aucune ne leur appartiendra jamais. Durant les préparatifs de ce vaste projet, je décidais, à la base, par simple curiosité, de prendre des nouvelles de celle qui aurait dû être ma promise… Alana. Si je m’attendais à ce qu’elle ait changée, je fus choqué en découvrant sa photo qu’un détective privé que j’avais mandaté, m’apporta. Elle était sublime, divine et déjà, j’annonçais le besoin de la rencontrer afin de voir si son esprit allait de pair avec son physique. J’appris alors que sa mère était sur le point de mourir et lorsque je découvris sa situation financière, paya tous les frais d’obsèques, lui offrant un enterrement digne et glorieux avec orgues magistraux, cercueil en bois précieux, cérémonie imposante et célébrée directement par l’Archevêque de Westminster. Je m’y suis alors rendu sans jamais révéler ni mon identité ni ce que j’avais fait pour elle. Je me contentais de l’observer, de regarder, elle était si belle malgré ses larmes, encore plus qu’en photo et lorsque je lui adressai mes condoléances, je fus surpris de la douceur de sa voix, de ce regard à vous damner et de cette prestance qui se dégageait d’elle. Je la voulais, je l’aurais. J’écoutais attentivement son discours de remerciement, ses paroles aux invités, elle semblait réellement être une fille intéressante et son corps me rendait déjà dingue. Sa virginité n’était pas certaine mais cela ne me dérangeait pas, au pire, je m’arrangerai pour faire assassiner ses anciens petits amis, histoire d’être le seul sur cette terre à poser mes mains sur elle. J’ai attendu quelques mois avant d’ordonner au superviseur en chef du Harem, Aedan, de la faire 'enlever afin de la conduire entre ses murs. Je compte bien faire d’elle mon épouse mais le faible respect qu’a eu ma mère pour moi, m’empeche de le faire dès l’instant. Avant de lui imposer de m’épouser, je veux apprendre la connaitre, la façonner à ma manière et la faire hurler de plaisir. Je veux la tester et jamais je ne lui avouerai sa récompense si jamais, elle arrive à satisfaire à toutes mes exigences. Je la traiterai telle un esclave pour tout d’abord lui apprendre le respect et les us et coutumes qui siéront si bien à son futur rôle de reine. Elle est désormais mienne pour toujours et à jamais. Il semblerait pourtant que mon détective, dans le but de ne pas subir une de mes violentes colère aie pourtant omis de me dire qu’elle a été fiancée à un homme par le passé… Cette découverte risque probablement de montrer à Alana combien je peux me montrer possessif avec ce qui m’appartient de droit et de naissance.