Un univers sombre, de richesse, de royauté, de sensualité et de corruption, se déroulant en plein cœur du désert de Dubaï, entre les murs d'un harem aussi paradisiaque qu'infernal. Rejoignez notre communauté fidèle qui accueille les petits nouveaux à bras ouvert. L'ambiance ici est parfaite et muy caliente; elle vous inspirera de superbes rps avec nos membres. Et sachez qu'ici, on mord que sur demande...
Nom : Al Delkhalek Prénom : Dayana Surnoms : Dae, Daya Age : 31 ans Date et lieu de naissance : Dubai 1er décembre 1992 Origines : Arabes Etat civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétérocurieuse Préférence sexuelle : Tout Qualités : Ambitieuse, Intelligente, Indépendante, Audacieuse, Optimiste, Créative Défauts : Infidèle, Manipulatrice, Provocatrice, Fourbe, Prétentieuse, Scandaleuse Statut au sein du harem : Famille royale, sœur (adorée) des dirigeants. Métier/occupation : Personnalité publique, influenceuse, depuis quelques temps également dignitaire Célébrité : Abaigail Ratchford
Dayana est tenace, fourbe et ambitieuse. Un cocktail explosif qui lui a permis de passer de la misère extrême à une vie de luxe inimaginable. Elle ne tient absolument rien pour sacré, et certainement pas sa vertu, et aucun sacrifice n'est trop lourd ou trop important s'il permet de progresser vers un objectif. Encore moins si ce sacrifice peut être fait par quelqu'un d'autre. Elle estime que tout ce qui lui arrive de bon dans la vie est amplement mérité, que la fin justifie toujours les moyens, que trop n'est jamais assez et qu'elle est de toute façon meilleure que vous. Cela dit, derrière cette carapace, on peut tout de même trouver une personne qui accorde de la valeur aux amitiés vertueuses et sincères et qui cache en réalité plus de faiblesses qu'elle ne voudrait l'admettre. Ne pouvant se confier à personne, il arrive également que son secret lui pèse lourdement et elle a régulièrement peur de craquer face à la pression. Enfin, jusqu'à ce qu'elle retourne profiter de sa nouvelle vie. Maintenant qu'elle s'est retrouvée dans la cour des grands, il n'est pas non plus impossible que son ambition démesurée lui cause plus de mal que de bien et, comme dit l'adage (et aussi ses parents qui, mine rien, sont assez friands de petites expressions et de sagesse toute faite) "on est toujours puni par là où on pèche". De par ses origines modestes, elle souffre d'un véritable complexe d'infériorité qu'elle tente de masquer en jouant la carte de l'autoritarisme bas de gamme et du "m'as-tu-vu". Elle tient beaucoup à son image publique et n'hésite pas faire preuve d'hypocrisie pour la conserver intacte. Enfin, si elle apprécie sa nouvelle vie de princesse, elle a horreur des devoirs qui y sont liés et fera tout ce qu'elle peut pour s'y dérober.
Physique
Taille: 1m73 Poids: 60 kg Yeux: Verts clair Cheveux: Bruns foncés, toujours coiffés longs, magnifiquement ondulés Particularité: Une peau hâlée parfaitement entretenue, douce comme de la soie. Et une poitrine qui n'en finit pas.
Anecdotes
• Elle possède toujours le premier jouet en bois que son père lui a fabriqué, comme un porte-bonheur. • Son passé d'analyste médicale spécialisée en trucs dégueux s'est transformé en légère phobie médicale. • Elle a littéralement perdu connaissance en voyant sa première chambre, quand elle est devenue une Al Delkhalek. • Elle est devenue une personnalité publique célèbre au niveau national, puis international quand elle est devenue princesse. Son histoire (en tout cas sa version) est très connue localement. • Elle a parfaitement appris à compartimenter sa vie entre son existence de femme d'Etat, son existence publique et sa vie au Harem. Passer ses journées à baiser d'un côté ne l'empêche pas d'animer l'une des émissions pour enfants la plus regardée du pays. • Elle a été élue 'Femme la plus sexy du Moyen-Orient' par huit magasines people, dont un américain. • Elle ne parle que l'arabe et l'anglais et avec un sacré accent, mais qui, paraît-il, participe beaucoup à son charme à l'étranger. • Elle est partagée entre le regret que ses parents n'aient pas vécu pour la voir devenir riche et puissante et le soulagement qu'ils n'aient pas pu voir toutes ses manigances. • Elle s'est convaincue que la signification de son prénom à quelque chose à voir avec son accession à la famille royale. Elle très superstitieuse et croit au paranormal et à la sorcellerie. • Dayana est nymphomane et, si elle fait du déni concernant son affliction, elle reste une femme souffrant d'une vraie maladie.
Derrière l'écran
Pseudo : El' Âge : 27 ans Avez-vous des pré-liens? : Un petit paquetComment êtes-vous arrivé ici? : De re-retour, jpp on dirait une camée qui replonge en boucle Votre première impression? : Je m'en souviens plus, la drogue a cramé ma mémoire Confirmez votre majorité : Je confirme ma majorité Code secret (en 15 mots) : Un dernier mot : Pour le registre des avatars
Code:
[color=#C71414]✘[/color]<b> Abigail Ratchford </b> ✘ <i>Dayana Al Delkhalek</i>
Pour le registre des titres d'aristocratie si votre personnage a un titre à mettre dans le bottin
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<b>✘ PAYS </b> - Capitale Prénom et nom - [i]rôle/titre[/i]
Le résumé de l'histoire du royaume (pour tortionnaire royal)
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écrire ici
Pour le registre des prénoms
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[b]Dayana[/b] Al Delkhalek
Pour le registre des noms
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[b]Al Delkhalek[/b] Dayana
Dayana Al Delkhalek
Famille Royale
✥Arrivée dans le Harem » : 16/08/2024 ✥Coup de fouet » : 59 ✥ Points : 937
Pour quelqu'un comme Dae, qui a grandi dans la misère, voir un endroit comme celui-ci n'est pas vraiment surprenant. C'est le cycle naturel, avec les forts d'un côté et les faibles de l'autre. Le concept même de gentils et de méchants lui paraît dépassé et enfantin. Arrivée au Harem en tant que membre de la famille royale, c'est avec plaisir qu'elle y passe du temps, appréciant les jeux de cours et les loisirs qui y sont possibles, s'y étant très vite habituée. Peut être trop vite ? En tout cas, elle s'y sent chez elle, voire même plus. Elle qui garde sûrement le plus gros secret entre ces murs, elle s'amuse à vouloir s'immiscer dans les petits complots et dans les petites amourettes des autres, succombant elle-même à l'allégresse de relations légères et sans grandes conséquences. Après une enfance miséreuse, elle est deux fois plus gourmande de tous les plaisirs possibles et même ceux qu'elle n'imagine pas encore.
Plus qu'un simple lieu de vacance, le Harem représente l'endroit où Dayana peut être elle-même, sans risquer de provoquer le moindre scandale qui pourrait entacher sa réputation qui doit rester immaculée, pour le bien de tous, y compris de son pays et sa famille. Si en dehors, elle apparaît comme la parfaite princesse, l'image à la fois radieuse et moderne de l'émirat, c'est parce que le Harem est là pour lui donner un exutoire à la taille de ses vices et appétits voraces, comme une manière de traiter les symptômes sans chercher à s'occuper de la maladie en elle-même. Quoi qu'il en soit, au Harem, Dayana est en territoire conquis. Elle s'y sent reine de tous ceux qui y mettent les pieds, marchandises comme invités et se considère comme la véritable déesse des plaisirs charnels en ce bas monde. Rien que ça !
bdsm
& Co
D'après son propre frère Aksel, Dayana baise tout le temps, partout et ne semble jamais rassasiée. Partagée entre son côté dominante et son côté dominée, elle aurait du mal à admettre, cela dit, qu'elle apprécie ne pas être au contrôle. Sa soif de dominance lui vient de son parcours chaotique et de sa prétention : elle est devenue une princesse et elle veut le montrer, et tant pis pour les autres. Ceci est contrebalancé par son envie de relâcher la pression du secret qui pèse sur ses épaules et la culpabilité qu'elle peut parfois ressentir face à ses manigances, ce qui la pousse, d'un autre côté, à aspirer à une certaine soumission bien plus souvent qu'elle ne voudrait l'admettre. Sans parler de ses envies insatiables générales qui la poussent à pouvoir s'adapter avec une grande facilité. Tel un véritable "caméléon sexuel".
Maintenant, tout ceci lui apparaît aussi naturel que de manger ou respirer, plus encore après qu'Aksel l'ai véritablement présenté à son univers à tel point que, comme n'importe quelle addiction, plus le temps passe, plus Dayana s'enferme dans une spirale de violence sexuelle de plus en plus exacerbée. Il lui faut plus, plus intense, plus fort, plus sensationnel à chaque jour qui passe, ce qui ne fait qu'aggraver sa condition et la pousser un peu plus à se mettre en danger, elle ou même les autres.
Il était une fois, dans un magnifique palais, décoré d'or et d'argent, une princesse. On l'appelait Lumière Eclatante et c'était la plus belle et désirée de toutes les femmes du royaume et de ceux alentour. Les hommes venaient des quatre coins du monde pour lui faire la cour et rendre hommage à son corps parfait, ne pouvant qu'imaginer, fantasmer et...
Bon, je vais être honnête, cette histoire ne commence pas réellement à ce moment là. En fait, revenons un peu en arrière. Genre trente, quarante ans facile.
*Lance une photographie en noir et blanc sur laquelle se trouve un couple d'origine maghrébine, l'air miséreux et austère.* Ca, c'est mes parents le jour de leur arrivée à Dubai. Oui, je sais, pour l'instant, la princesse, on oublie. Ils ont voulu fuir la misère et la pauvreté et... Spoiler, ça n'a pas super bien marché. Surtout quand tu mets ça en parallèle avec leur lieu de travail : le Palais Royal, rien que ça. Mon père était concierge et ma mère femme de chambre. Et non, ils n'ont jamais vraiment approché de près ou de loin la famille royale. Non, ça, ça aurait été beaucoup trop simple...
*Lance une nouvelle photographie qui représente un bébé.* Ca, c'est Dayana Gueziel, la 8 décembre 1992, une semaine après sa naissance. Ah, c'est moi, au cas où vous n'auriez pas encore deviné. Oui, je sais, c'est vraiment un beau bébé, on en mangerait. Comme on peut s'y attendre, je n'ai pas vraiment eu l'occasion de grandir avec la vie de château. *Lance une photographie montrant une petite fille d'environ cinq ans en train de jouer avec un cheval sculpté dans du bois.* Là, c'est mon poney en bois, Ester. C'était mon jouet préféré quand j'étais gosse. La classe, hein ? On ne juge pas, merci. C'était mon père qui me l'avait fabriqué avec le peu de temps que ces altesses royales voulaient bien lui laisser. Sérieusement, on dit que l'esclavage, c'est du passé, mais moi je trouve que travailler quatre-vingts heures par semaine en étant tout juste assez payé pour acheter de quoi vivre assez longtemps pour travailler, ça ressemble quand même drôlement à de l'esclavagisme avec des étapes en plus, histoire de garder la face.
Honnêtement, ce n'était clairement pas la vie que je me souhaitais et je savais que j'allais tout mettre en œuvre pour fuir le plus loin possible du destin pitoyable qui m'attendait. Et j'ai bien dit TOUT.
Heureusement pour moi, on dit que le seigneur ne punit jamais deux fois. Si je suis née dans la misère, il est apparu clair que la nature m'avait doté en retour d'une beauté et d'un corps à faire bander un eunuque et de l'intelligence nécessaire pour pouvoir en produire quelque chose. *Fait apparaître une photographie d'elle-même alors qu'elle est adolescente.* On se calme, je suis mineure dessus... Déjà, à cet âge, j'avais deux arguments en ma faveur à rendre jalouses des femmes arrivées à pleine maturité. Et ça, c'est comme le talent, et je me souviens de ce que mon père disait à propos du talent : "c'est un crime de ne pas en profiter et de ne pas en faire profiter les autres." Et je n'avais pas prévu d'aller en prison. Et ma mère ajoutait toujours à ces sages paroles : "si tu es talentueuse dans un domaine, ne le pratique jamais gratuitement." Et j'ai déjà dit que je comptais fuir la misère qui m'était prédestinée. Merci, papa et maman, vous n'avez aucune idée d'à quel point vos conseils m'ont aidé.
*Ajoute une photo d'elle-même à la pile de photos qui commence à se construire, qui la montre en tant que jeune femme quelques années après la précédente photographie.* Vous pouvez me croire, on est bien sûr de l'authentique. A partir de là, vous avez le droit de laisser vagabonder vos esprits, parce que je peux vous assurer que ça faisait déjà plus que fantasmer, à cette époque. J'ai commencé à "bosser" en vendant ma virginité... deux fois. Bon, je vais pas mentir, j'y connaissais pas encore grand chose, loin de me douter qu'il y avait tout un marché et que j'aurais pu me faire certainement beaucoup plus. Mais, cette expérience m'a permis de me faire la main sur les deux compétences qui allaient s'avérer être mon tremplin vers la vie de rêve : le sexe et les arnaques. C'est en forgeant qu'on devient forgeron et c'est en... sexant et arnaquant qu'une fille comme moi tire son épingle du jeu.
Ma tactique pour vitre, c'était de me faire inviter à des soirées clairement trop bien pour moi. J'étais surtout là pour décorer, soyons francs, mais ça me permettait de pouvoir manger et boire à l'œil et avoir un endroit où passer la nuit sans me mettre en danger. Enfin, pas plus que nécessaire. J'avais même le luxe de refuser certaines avances qu'on me faisait, ce qui n'est pas rien. En tout cas, celles qui se contentaient de "viens chez moi, je vais te sauter". Bon, ça finissait souvent comme ça, mais je préférais tout de même lorsqu'il y avait quelques étapes supplémentaires. Par principes, quoi.
Malheureusement, cet âge d'or n'a pas duré autant que les impôts. Sans doute ai-je manqué de vigilance à un moment, ou alors j'ai fâché les personnes qu'il ne fallait pas. Quoi qu'il en sois, j'ai fini par me faire attraper par la police de la pensée qui m'a forcé à me couvrir des pieds à la tête. *Ajoute une photographie entière recouverte.* Admettez que c'est tout de suite beaucoup moins vendeur. Après il paraît qu'il y en a que ça excite, j'ai appris à ne pas juger ce genre de truc.
Forcée de me reconvertir, je me suis dirigée vers des études de médecines. Ne vous affolez pas, y'a pas vraiment de quoi écrire une thèse (ahah) alors ne vous cassez pas un bras en espérant me retrouver à vous ausculter, ça n'arrivera pas. Non, j'étais simple aide-soignante et j'ai trouvé du boulot comme assistante dans un laboratoire d'analyse médicale. Beaucoup de mots pour dire qu'en gros, mon job, c'était jouer avec des petits flacons de pisse, annoncer aux gens qu'ils vont crever et me faire insulter parce que, clairement, c'est ma faute s'ils ont traîné là où il ne fallait pas. Je sais que vous attendez la princesse dans son château, bla bla bla, mais pour l'instant elle s'occupe de savoir pourquoi monsieur pisse un jerrican d'essence à chaque fois qu'il va aux toilettes.
Ca a duré quelques temps, qu'il n'est ni utile ni nécessaire de détailler, mais c'est au moment où j'allais perdre patience et me résigner à faire ce boulot pour le reste de ma vie que le destin me récompensa pour ma résilience et ma ténacité. Je ne sais pas pourquoi la famille royale est passé par notre laboratoire, sans doute qu'ils voulaient dissimuler quelque chose... Quoi qu'il en soit, un jour, nous recevons un échantillon sanguin et, contrairement à tous les autres, celui-ci nous avait valu nombre d'avertissements et mises en garde. Clairement, ce sang appartenait à quelqu'un d'important et il fallait que j'en sache plus.
Sexe et arnaques. Mes vieilles sensations rouillées par des mois d'absence de pratiques revenaient comme si de rien était. Les mauvaises habitudes, c'est comme les morpions. C'est tenace. Mon patron était le genre assez typique : un peu grassouillet et surtout empêtré dans un mariage malheureux. Le genre de "client" dont j'avais l'habitude. Je n'avais pas manqué sa façon lubrique de me détailler depuis que j'avais rejoint son service. J'allais enfin "succomber à ses avances" et, surtout, à ses envies à peine voilées (contrairement à moi). Je suis ainsi devenue sa maîtresse jusqu'à pouvoir endormir sa vigilance. Au bout d'une semaine, après les cinq... non, plutôt deux, soyons honnêtes... minutes, qu'il parvint difficilement à m'accorder, j'arrivais enfin à échanger les fioles de sang et à m'emparer de ce qui s'avérerait être mon passeport vers la vie de luxe et de débauche que j'ai toujours mérité.
En effet, entre temps, j'avais réussi à apprendre que cette fameuse fiole appartenait à une cousine, morte dans des circonstances obscures, de la famille royale directe. Mon plan était alors simple comme bonjour : faire réaliser un test de paternité et utiliser ce sang comme si c'était le mien. Pour ça, j'avais malheureusement besoin de mettre un de mes collègues dans la confidence. Finalement, cette partie là du plan s'est avérée plus simple que prévu, et je n'ai même pas eu besoin d'ouvrir mes cuisses. La simple promesse de fortune suffit à faire plier mon complice, un amateur de jeux qui contractait beaucoup trop de dettes pour son propre bien et que sa pauvre paye d'analyste médicale ne suffisait pas à éponger.
Lorsque les résultats arrivèrent, j'avais la "preuve" que j'étais une Al Delkhalek. Compte tenu de la tradition familiale à laisser des bâtards aux quatre coins des émirats comme si c'étais des œufs de Pâques et que, pour rappel, ma mère avait travaillé au palais royal, on n'a même pas essayé de remettre ce test en question. Non seulement, l'objectif est d'éviter un scandale, mais surtout, traditionnellement, le concept de bâtard n'existe pas vraiment dans l'Islam. C'est le sang et non pas le mariage qui compte. J'avais même réussi à faire croire que le patriarche de la famille lui-même avait couché avec ma mère. Plus qu'une cousine éloignée, j'étais devenu la demi-sœur du prince héritier lui-même, rien que ça. Du jour au lendemain, je passais d'une moins que rien à la nouvelle princesse chérie de la plus grande puissance du Moyen-Orient. Les mots misère et pauvreté seraient à jamais bannis de mon répertoire. *Ajoute plusieurs photos d'elle au palais.*
Il restait néanmoins encore un problème dans cette arnaque pourtant si bien ficelée : mon complice. Plutôt que d'éponger ses dettes, cet abruti fini à la semence de dromadaire en a contracté d'autres à la mesure de l'argent que je lui envoyais. Et cet imbécile m'en demandait toujours plus, allant jusqu'à me menacer de révéler ma mascarade. Ne pouvant bien évidemment pas courir ce risque, j'ai fini par faire ce qu'on enseigne très certainement aux enfants royaux : comploter et assassiner. Un jour, je lui donnais rendez-vous pour renégocier notre contrat, ce qui incluait coucheries et autres récompenses en nature. On dit que le poison est une arme de femme, ça n'en reste pas moins efficace. C'est comme ça que j'ai pu faire régler ce dernier petit soucis... sans éprouver le moindre remord. Parce que si mon secret s'ébruite, c'est la peine capitale que je risque, pas moins et, personnellement, je n'ai pas fait tous ces sacrifices pour que ça se termine comme ça.
D'autant que je n'ai pas prévu de m'arrêter là. Comme les autres avant lui, je vois bien comment mon cher demi-frère me regarde, me désire. Et il est de notoriété publique au sein de la famille, que des liens aussi fragiles que les liens familiaux ne l'ont jamais retenu de succomber à ses désirs. Et je dois bien admettre que si la moitié de ce qu'on dit sur les prouesses d'Aksel est vraie, je le veux ardemment aussi. Et je l'aurais. J'ai toujours ce que je veux.
Quoi qu'il en soit, je peux vous assurer que rien ne m'arrêtera dans mon ascension. Peu importe qui il faudra baiser ou tuer, deux choses dont j'ai pu faire l'expérience.
***
Si je n'ai pas encore eu à tuer, je peux vous dire que j'ai sacrément baisé. Et je peux dire également que ça m'a carrément réussi. J'ai non seulement réussi à me faire une place dans ma nouvelle famille, mais plus incroyable encore, on peut affirmer que je me suis taillé la part du lion. Véritable coqueluche du peuple et d'Aksel, j'ai absolument tout ce que je peux désirer en un claquement de doigt.
En parlant d'Aksel, il en est clairement un que les liens du sang ne rebutent pas. Après un temps interminable à se tourner l'un autour de l'autre comme deux pré-ados en chaleur, on a fini par se tomber dessus et mon Dieu ce que c'était... assez incroyable, je dois bien l'admettre. Il m'a montré des choses que moi-même je ne soupçonnais pas et nous nous sommes engagés dans une véritable relation aussi torride qu'interdite. Un secret de plus à ajouter à ma collection, mais au moins, celui-ci est délicieux, en plus de me permettre de consolider bien plus que de raison mon pouvoir et ma position.
Grâce à ça, notamment, je suis partout, à la TV, dans les magasines, sur internet, en 4 par 3 dans la ville... Plus qu'une image, je suis devenue en quelques mois une icône pour tout un empire : le modèle des jeunes filles et le fantasmes des hommes. Bien qu'il n'ai fait que travailler à partir de mes indéniables atouts, Aksel a en partie orchestré tout ceci comme on met en place n'importe quelle subtile, mais efficace, propagande... que je sers maintenant en retour, notamment en travaillant auprès des ambassadeurs et diplomates, sur place comme à l'étranger.
Devoir qui me tient d'ailleurs de plus en plus éloignée du Harem... et apporte donc forcément son lot de conséquences. Si je fais ce que je peux pour me tenir éloignée de scandales qui atteindraient immanquablement le reste de ma famille, je ne suis pas une déesse infaillible (bien que j'en ai l'apparence, d'où la méprise, je vous l'accorde). Je pense que tout le monde a bien conscience que je peux être une véritable bombe à retardement si je suis tenue trop longtemps éloignée de Dubai, si on me laisse trop longtemps en roue libre. C'est un équilibre à trouver... et franchement, je laisse les autres s'en occuper. On n'a rien sans rien et il s'agirait presque d'une relation marchande. Je sers les intérêts de l'état et de ma famille tant que je peux baiser et me faire baiser assez régulièrement pour assouvir mes besoins et que le budget reste illimité. Au delà, je ne réponds plus de rien. Pas comme si j'en avais la force de volonté de toute façon...
En tout cas, ça a l'air de réussir et de plaire à tout le monde (ou presque). Je fais partie de l'élite des diplomates de Dubai, un des éléments, sinon même l'élément clé sur lequel repose tout notre soft power et, clairement, il ne s'agit plus que d'une question de quelques mois avant que je ne finisse par être officiellement nommée ministre. Si, d'une certaine manière, je n'ai jamais autant travaillé que maintenant, je pense aussi que la vie n'a jamais été aussi belle. Certes, je suis parfois éloigné du Harem pendant un moment, mais vous seriez vraiment surpris de l'efficacité des services secrets quand il s'agit de faire disparaître mes frasques de la nuit avant même que le soleil ne se lève. C'est tellement satisfaisant d'avoir tout ce monde qui fait le ménage derrière moi. C'est comme avoir sa propre équipe d'agents de surface, sauf qu'en plus, les miens sont invisibles et coûtent quinze fois plus cher !
Ariadna Vakhrov
Garde
✥Arrivée dans le Harem » : 06/06/2024 ✥Coup de fouet » : 139 ✥ Points : 610
16.08.24 8:52
Oh le retour de la princesse Dayana, cette fois ci j'espère qu'on pourra se faire un truc
Marita Underlinder
Martyr Soumis
✥Arrivée dans le Harem » : 17/03/2016 ✥Coup de fouet » : 549 ✥ Points : 4146
the way Gavriil looks at me… the way his touch burns my bare skin…I feel naked and ready to combust every time our gazes meet.
Alice Brown
Garde {Staff}
✥Arrivée dans le Harem » : 27/06/2021 ✥Coup de fouet » : 5743 ✥ Points : 23350
16.08.24 14:01
Tu es validée !
Félicitation !
Tu es Membre de la famille royale
Les portes du Harem s'ouvrent enfin à toi, tu peux désormais faire ta place dans notre royaume corrompu ! Afin que tu puisses t'y retrouver, voici les topics indispensables:
✥ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avec tous ses liens utiles. ✥ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ✥ Faire ta fiche de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ✥ En recherche d'un RP ? C'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que ça se passe. ✥ La zone des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour tout ce qui sera nécessaire à ton personnage et à ta vie sur le forum. ✥ Ce n'est pas ton premier compte ? Alors n'oublie pas de faire ajouter ton personnage dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ✥ Ton personnage travaille pour le harem? recense le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si c'est un garde (royale) ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] s'il fait parti des tortionnaires personnels où s'il est un esclave. ✥ Si tu as créé une famille royale qui n'était pas présente sur le forum et que pour cela, tu as dû modifier l'histoire du pays en question, n'oublie surtout pas d'aller sur ce [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
And then I learned the truth, how everything good in life seems to lead back to you. And every single time I run into your arms, I feel like I exist for love... Only for love