Un univers sombre, de richesse, de royauté, de sensualité et de corruption, se déroulant en plein cœur du désert de Dubaï, entre les murs d'un harem aussi paradisiaque qu'infernal. Rejoignez notre communauté fidèle qui accueille les petits nouveaux à bras ouvert. L'ambiance ici est parfaite et muy caliente; elle vous inspirera de superbes rps avec nos membres. Et sachez qu'ici, on mord que sur demande...
Nom :Al Delkhalek Prénom(s) :Lazhar Surnom(s) :Faut-il gagner le droit de lui en donner bien que, plus souvent qu'à son tour, lui donne-t-on le diminutif de Laz' dans son entourage proche. Age :34 ans Date et lieu de naissance :New-York le 1er Avril 1990 Origines :Américo-arabes Etat civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétérosexuel Préférence sexuelle : Dominant Qualités : Ambitieux ✘ Séducteur ✘ Protecteur ✘ Malicieux ✘ Loyauté indéfectible une fois acquise ✘ Affectueux ✘ Calculateur/Stratège ✘ Passionné ✘ Sociable & Affable ✘ Plein d'assurance ✘ Charismatique Défauts : Manipulateur ✘ Pervers ✘ Sadique ✘ Explosif ✘ Impitoyable ✘ Déraisonnable ✘ Dominateur ✘ Sarcastique ✘ D'une curiosité insatiable ✘ Collectionneur Statut au sein du harem :Famille Royale Métier/occupation :Prince régnant Célébrité :Ian Somerhalder
"A ceux qui revêtent le manteau de l'ambition, il n'existe d'autre limite que le ciel lui-même.", Arthur Flemming A l'image de Lazare qui ressuscita, il fallut la chute infortunée d'un destin vengeur pour placer Lazhar dans la possession de celui qui a besoin, de celui qui connait le manque et l'absence. En lieu et place d'un quelconque ventripotent prince qui eût pu profiter allègrement de l'abondance omniprésente à s'émousser les crocs de ne jamais en avoir besoin, Lazhar a dû très tôt sortir sa pierre à aiguiser l'esprit. D'une intelligence peu commune, minutieusement affutée pour en forger l'étendard de son appétit dévorant, chaque choix n'étant pour lui que l'apanage d'un embranchement dans le champ des possibles de son ascension.
Calculateur, stratège, son esprit n'a, et de longue date, jamais trouvé le bouton "Off", sous-pesant chaque décision pour prendre le meilleur parti de chaque situation. Manipulateur, impitoyable, sa conception du monde s'organise comme autant de cercles concentriques autour de sa personne. Ceux qui sont en-dehors ne sont qu'outils et pions offerts au jeu qu'il déploie sur l'échiquier de sa vie. Puis, à mesure que les couches de l'oignon s'étiolent sous ce regard d'un bleu azur perçant, il considère ceux qui parviennent à se tisser d'une proximité avec le petit prince. Dès lors, ses trésors de machiavélisme se déploient d'une loyauté inébranlable pour celles et ceux qui rentrent dans ce saint des saints en son fort intérieur.
Si ambitieux qu'il est, il ne prend ombrage de celle qu'il observe chez les autres, tout au contraire, appréciant tout particulièrement les esprits dont il observe un reflet, même partiel, du sien. Séducteur, dominateur, les femmes ont de tout temps été un exutoire pour lui. Patient, méthodique et diplomate d'apparence, c'est en réalité un tempérament profondément explosif et impatient qui boue sous la surface de cette maitrise qu'il a réussi à se constituer de coquille. Dès lors, et sous la profonde irritation et impatience que lui inspirent les incapables comme les pertes de temps, la chair féminine a su épancher les affres de cette lave ardente qui coule dans ses veines, plus souvent qu'à son compte aux dépends des infortunées se laissant aller au délice de sa lubricité qui ne semble trouver dans l'inventivité dont il fait preuve en tout domaine pas davantage de limites qu'elle n'en a face à son ambition.
Sociable et affable, charismatique et charmeur, il sait déployer des trésors d'ingéniosité dans son rapport à autrui. Il ne connait aucune honte ni retenue dans sa capacité à manipuler, travestir ses intentions, conduisant qui il veut, où il veut d'une véritable palette artistique dans chaque intonation, chaque gestuelle, très expressif de nature. Il est impitoyable, en tout, en tout point et envers tous ceux qui n'ont mérité sa considération. Mais s'il est une caractéristique dont il fait montre envers tous de manière uniforme et des plus exacerbées c'est bien la curiosité. Dévorante, insatiable, le savoir c'est le pouvoir, et en ce point il parvient toujours à ses fins.
Physique
Taille: Ses 1 mètre soixante-dix-neuf le placent à peine au-dessus de la moyenne, offrant tout juste la possibilité que le bleu de ses yeux puissent toujours apercevoir le ciel dont ils se font l'ineffable reflet au-dessus de ses adversaires. Poids: Un soixante-et-onze kilos qui, loin d'offrir une musculature tape-à-l'œil et outrecuidante, laisse son épiderme ciselé d'un corps qui a toujours été maintenu dans une forme olympique sous un épiderme de fibre de carbone. Yeux: De loin la première chose que l'on sait remarquer chez lui, sa mère n'avait de cesse de dire que quelque part, dans la voûte céleste, il devait y résider deux ouvertures, là où l'on avait prélevé ce bleu si pur qui avait empli ses iris. Cheveux: D'un noir de jais, d'une aile de corbeau tranchante sur sa peau claire, toujours taillés d'un coiffé-décoiffé savamment orchestré qui eût pu donner ce côté négligé s'il n'avait été aussi étudié, d'un geste de main les replaçant en un mouvement constant. Particularité: "De mon pinceau je tisserai la toile de ma vie.", Louis Aragon L'art du tatouage est un art ancestral, qui remonte à l'antiquité, que ce soit dans les coutumes orientales, amérindiennes ou nordiques, alors que chaque courbe, chaque symbole, chaque point sont autant de lettres et de mots sur le récit d'une vie taillée à même la chair. C'est ainsi que Lazhar le voit, alors que de son épiderme il a fait marquer toute une série de points rassemblés en autant de motifs le long des lignes de son dos, son bassin, plongeant au travers de sa nuque jusqu'à la racine de sa chevelure de jais, glissant sur ses épaules à la naissance de ses bras. C'est une œuvre vivante qui grandit au fil des années de sa vie, contant dans un langage dont il est le seul le gardien des clés le récit de sa propre existence, quel nul autre que lui ne saurait lire et déchiffrer, autant d'énigmatiques secrets soulignant les courbes d'une affriolante masculinité qui n'en capte que davantage le regard.
Anecdotes
"Chaque pierre qui pave notre existence est autant de tremplins à l'ascension de notre moi en devenir et de souvenir de l'héritage de notre moi passé.", Gustave Eiffel - Les accès de colère noire et violente de Lazhar ne sont que présupposés, peu sont réellement au courant, et moins encore à même ou disposés à en parler. - Lazhar a une fibre artistique sur laquelle il ne s'épanche que peu, entre dessin au fusin, peinture sur peau, etc. L'art étant pour lui relativement trivial c'est quelque chose qu'il ne révèle que peu à son sujet. - La boisson préférée de Lazhar est le Zythum, une boisson de l'Egypte ancienne s'apparentant à de la bière fermentée, assez forte. - Lazhar a un journal, personnel, caché dans ses appartements, que personne n'a vu, où il conte ses... expérimentations sexuelles. - Lazhar a très peu (quasiment jamais) accepté d'esclave ou de martyre personnelles, préférant voguer de l'une à l'autre sans tisser de réel lien. - On ne connait aucune relation sentimentale à Lazhar jusqu'à ce jour, se contentant d'aspects charnels. - Peu de détails filtrent quant à ce qu'il aime, personnellement. Une rumeur a néanmoins filtré au travers du Harem comme quoi son parfum préféré serait le Monoï. Vrai? Faux?
Derrière l'écran
Pseudo : Partons sur Laz' Âge : 33Avez-vous des pré-liens? : La famille Al Delkhalek, Sherine Al Saoud, Hailey MountbattenComment êtes-vous arrivé ici? : Recherches sur internet, de loooongues heures pour choisir le forum qui me parlerait. Votre première impression? : Coup de coeur pour l'instant ! Confirmez votre majorité : Depuis un moment oui ! ^^ Code secret (en 15 mots) : Un dernier mot : Zythum. C'est le dernier mot du dictionnaire, en tout cas. Et une boisson dont je vais rendre Lazhar friand, par votre faute. Pour le registre des avatars
Code:
[color=#C71414]✘[/color]<b> Ian Somerhalder </b> ✘ <i>Lazhar Al Delkhalek</i>
Pour le registre des titres d'aristocratiesi votre personnage a un titre à mettre dans le bottin
"A tout être, qu’il soit plante ou homme, découvrir, ou mieux encore créer, l’environnement idéal est le biais le plus direct pour s’accomplir pleinement.", Oscar Wilde Le privilège de ceux qui ont connu le manque est de se voir pousser les crocs nécessaires à aller chercher eux-mêmes ce qui ne leur est pas tombé tout frais dans le bec. En lieu et place d’un ventripotent prince qui n’a jamais manqué de rien, c’est un loup affamé qui a été forgé par la vie, un loup habitué depuis très jeune à ne rien maîtriser de son environnement, subissant les affres de sa situation, des choix de sa mère et de la nécessité dans laquelle ils l’ont laissé, bons ou mauvais. Alors que cette nouvelle vie s’est offerte à lui, elle s’accompagna rapidement de cette première opportunité alors que l’idée germait peu à peu de créer ce harem en compagnie de ses frères nouvellement recouvrés.
Quoi de mieux pour lui?
Un lieu qu’il serait à même de contrôler avec eux, un milieu rempli de femmes, qui ont toujours été son exutoire, sa sous-pape lui permettant de relâcher le déferlement de cette lave qui lui parcourt les veines à chaque instant. Une possibilité, en réalité, de le faire en toute impunité alors qu’autant de victimes s’étalaient à ses pieds, sans besoin de couvrir ses traces. De quoi se tailler un environnement où son tempérament pourrait librement s’exprimer, lui permettant de se focaliser sur son ascension, son ambition. De même, alors qu’il est naturellement peu disposé à se brider à ses limiter, cela ne fit qu’aller en s’accentuant sa propension à la démesure, laissant son imagination s’exprimer à sa guise.
Ayant une vision très cartésienne de ceux qui l’entourent, où il n’y a aucune demi-mesure, où l’on est dans son cercle ou en dehors, n’apportant considération qu’à ceux qui ont réussi à attirer son attention et sa sympathie, l’esclavage à proprement parler est, pour lui, dans l’ordre naturel des choses. L’ambition en elle-même permet de s’élever. Qui dit élévation dit qu’il y a clairement des personnes en haut et en bas de l’échelle. Sa place, outre sa naissance qui n’est intervenue que dans le tard dans son histoire, il l’a méritée. Le harem, à ses yeux, n’a fait qu’officialiser un ordre des choses qui lui apparaît comme naturel. Il n’est pas du genre à avoir quelque acquis de conscience sur le sujet.
L’homme d’affaire en lui, vit dans ce harem un tout autre aspect. Alors qu’il voit en sa famille et en son royaume une légitimité et une supériorité (tout à fait objectives), et que sa propre ambition s’est naturellement rangée à leur service également lors de la découverte de ses frères et de son ascendance, ce harem représentait tout à la fois un plaisir mais aussi un levier très important pour placer les siens au tout premier plan de l’échiquier mondial. En effet, les grands de ce monde, pour pouvoir s’offrir le luxe de ce havre paradisiaque, contracteraient une dette très concrète à leur encontre. Celle du secret, celle d’une influence qui, par le biais de chaque nouvel hôte rejoignant les douceurs du lien, prendrait dans leur toile tout ce “gratin”, ne leur offrant que davantage à chaque jour de prises pour un jeu plus subtile.
Une œuvre qui promettait beaucoup et, avec les années, avait su tenir ces promesses.
bdsm
& Co
"C'est au bord du précipice que la nature de la vie se révèle dans toute sa splendeur, tout à la dualité de son instinct de survie et l'envie profonde et bestiale de s'abandonner à l'abîme cœur et âme.", Agatha Christie. Le désir, pour se voir profiter pleinement, se doit être le miroir honnête et transparent de l'âme. L'expression d'un soi profond qui se connecte et s'offre d'une valse variée au creux des bras d'un partenaire d'une seconde comme d'une éternité. En ce sens, il y a un moment, maintenant, que Lazhar a trouvé le rythme de sa propre valse éternelle. Profondément polygamme de vie comme de conviction, il ne goûte la jalousie ou la possessivité sauf s’il peut s’en jouer comme d’une prise sur autrui. Abhorrant toute notion de routine et d’ennui, l’artiste en lui s’exprime par une imaginativité particulièrement débordante en la matière, s’amusant en expérimentation sans cesse renouvelées au travers de ces… échanges, mêlant plaisir et douleur, désir et supplice, félicité et humiliation.
C’est par ces jeux de domination et cette relation d’interdépendance qu’il trouve le plaisir sexuel transcendé, non centré sur le sévice lui-même mais sur le biais que cela lui offre tant dans le déchainement, cette capacité à expurger le trop-plein en lui, à laisser libre cours à la personne bestiale qu’il ne s’est jamais autorisé à être en public, mais aussi dans la capacité à forger, façonner, à voir comment cette relation tissée vient faire évoluer l’objet de ses attentions, créer une dépendance, un lien, une attente.
Profondément sadique et dominateur de nature, il sait charmer, faire tourner les têtes, mais à l’image du reste de sa personne il est totalement impitoyable, pouvant être brutal, ne parvenant, dans son oeuvre, à faire preuve de retenue, laissant aller ses plus bas instincts sans aucune retenue de pensée comme de corps. Souvent dans l’excès, il aime à pousser sans cesse dans les retranchements, testant, mettant à l’épreuve, exigeant au plus haut de ses partenaires, à leurs dépends. Il y a néanmoins en lui cette facette de douceur, d’un charisme enchanteur, venant saisir le cœur alors que le corps est au supplice, venant figer dans l’ambre le lien au moment où il est le plus intense.
Collectionneur de nature, il aime à multiplier les partenaires. Il est néanmoins très rare qu’il prenne des martyres et esclaves personnels, ne goûtant guère cette sensation de responsabilité qui lui incombe en retour. Il faudrait, pour ce faire, trouver quelque chose de particulièrement remarquable pour l’amener à s’ouvrir à telle perspective.
"'C’est en étant au plus bas que l’on ne peut que monter.", J.K.Rowling 1er avril 1990. Non un mais deux cris percèrent la nuit de la solitude dont leurs petits maîtres n’avaient pas encore les facultés d’avoir conscience. De princes, à bien des égards, qu’ils eurent dû être de droit, anonymes ont-ils été rendus. Séparés alors qu’il est inconcevable de couper une pièce en deux pour en séparer les côtés pile et face, c’est pourtant, alors que de presque toutes leurs racines ils avaient déjà été ostracisés, ce que le destin, en une ultime pointe d’humour adjointe à leur date de naissance, s’amusa à esquisser la mauvaise blague. Comme si, afin qu’au plus haut ils ne montent, il fallait les faire démarrer au plus proche de l'abîme. Cette moquerie ne prendrait hélas tout son sens que bien plus tard alors que ses origines, à plus d’un égard, lui seraient dissimulées pendant l’essentiel de sa jeunesse.
Ainsi pensait sa mère, alors que, elle-même ignorante des origines du père, elle dissimula l’ascendance du jeune Lazhar de son côté de la famille, estimant qu’à regarder en arrière cela l’empêcherait de déployer ses ailes par son propre fait. En cela elle n’eût tort, le jeune homme grandissant avec cette vision de lui-même n’étant le fils d’aucun père et le petit fils d’aucune famille existante, seule persistait cette présence maternelle à ses côtés qui, bien qu’aux affres d’une vie lui réservant de cruelles déconvenues, lui apporta l’amour qu’elle put, à défaut d’une situation qui aurait dû être sienne, volée par le coup du sort de quelque arbitre du destin.
Pendant sept ans ils vécurent dans un appartement miteux de Brooklyn, le jeune garçon le plus souvent livré de nuit à lui-même alors que sa mère enchaîne les petits travails, alternant le plus essentiellement entre des boulots de jour et des services de nuit dans les bars et boite de nuit avoisinants. Au coeur de la capitale économique, sans aucune ressource ascendante ni diplôme en poche, la situation est difficile mais elle représente dès lors un exemple pour Lazhar alors que pas un instant elle ne se décourage ou ne s’apitoie, se battant à chaque instant pour les tenir hors de la mâchoire obscure du gouffre menaçant de les engloutir à tout instant : une lumière dans la nuit qui allait inspirer durablement son fils dans les épreuves à venir.
Autodidacte alors qu’il est livré à lui-même la plus grande partie du temps, Lazhar se passionne des nouvelles technologies, touchant à tout, expérimentant, faisant montre d’une intelligence et d’une sagacité peu commune, tirées l’une comme l’autre sans nul doute de son ascendance tant que de la situation lui apportant une maturité singulière pour son âge. Ce fut néanmoins à sept ans que cette situation difficile mais néanmoins aimante s’orchestra d’un énième virage venant détériorer le petit univers que le garçon avait peu à peu réussi à se stabiliser. Un nouvel homme à la maison, éclipse d’une lune venant se placer entre sa mère et lui. De lumière inspirante, sa mère s’éloigne, cherchant avant tout à le préserver alors qu’elle comprend son erreur, saisissant que les contes de prince charmant ne seront de la partition alors que les coups du sort semblent n’avoir suffisamment tonné sur la piste pour que le rideau de son histoire ne s’ouvre sur le public impatient.
La brutalité devint un quotidien. La solitude l’accompagna de près. Les crocs poussèrent.
"Il n’existe pas meilleur carburant qu’une bonne motivation et une volonté d’acier.", Benjamin Franklin 1er avril 1998 Ce fut seul, chez lui, que le jeune Lazhar “souffla” sa huitième bougie. L’ampoule qui tenait lieu de plafonnier s’éteignit sous l’impulsion de l’interrupteur, deux yeux d’azur fixés sur sa lueur persistant sur leur rétine exposée trop longtemps à sa lueur. Un an. Voilà un an que l’odieux s’était infiltré dans leur foyer, brouillant le tableau auquel il s’était peu à peu habitué, à défaut d’en connaître un autre. Un an qu’il sentait une rage battre la tempe en son esprit, faire accélérer son cœur, serrer le poing alors que la farce du destin ne le faisait plus rire. Un blizzard inattendu avait frappé tardivement la ville cette année-là, bien qu’au moins d’avril, et soucis d’économie obligeant, le chauffage, alors hors de prix, n’avait été pour autant relancé. Une brume blafarde s’échappa de ses lèvres pour s’accoler alors que le regard s’abaissait pour scruter la rue partiellement éclairée en contrebas. Un second souffle succède au premier, alors qu’un sourcil se fronce.
Qu’importe le chemin, mais il suivrait une route qui le sortirait de cet enfer. A son tour, il serait temps de briller.
Un écran de se rallumer et, bourreau de travail, il occulta tout le reste et se consacra à la prochaine étape de sa vie.
"Tout changement a de tout temps découlé d’un cataclysme.", Charles Darwin 1er avril 2007 Le vélo crissa alors que le frein avant serrait contre le pneu et que les rayons s'immobilisaient peu à peu. Celui qui était désormais un jeune homme leva un regard dans la clarté relative de cette nuit naissante. Son regard sembla croiser celui de cette version plus jeune de lui-même, quelque neuf ans plus tôt. L’ombre de ce sourire désormais célèbre à l’université écuma ses lèvres à cette pensée, une étincelle traversant ses iris d’azur reflétant si parfaitement la lumière du lampadaire le surplombant.
Neuf années s’étaient écoulées, neuf années de travail intense où il avait abattu les murs, un à un, décidé à se forger sa propre destinée. Une fois par mois il revenait, ici, depuis qu’il avait pu se déplacer au campus, un an plus tôt, retrouvant sa mère. La bourse avait offert de nombreuses solutions, et il lui avait proposé plus souvent qu’à son compte de se sortir de cette immuable situation. Rien n’y faisait. Encore marquée par l’abandon de cet énigmatique père dont elle se refusait à lui parler, elle ne parvenait à s’imaginer faire de même à son tour, quand bien même ses yeux se soient-ils ouverts à son encontre de nombreuses années auparavant.
Alors qu’il rangeait le vélo contre le lampadaire, l’y attachant, fin sachant de la “délinquance locale”, un frisson lui parcourut la colonne vertébrale. Un mauvais pressentiment. Loin d’être superstitieux, il ne put s’empêcher de passer un regard alentour, remontant par instinct le regard à la fenêtre qu’il scrutait quelques instants plus tôt.
Le reste des évènements resta flou dans sa mémoire. Cette sourde colère qui avait toujours palpité en lui, ce “carburant” comme il l’appelait qui le poussait en avant tournait jusqu’alors comme un mécanisme bien huilé en son fort intérieur, aussi savamment constituée que ses oeuvres et inventions : bête maintenue en cage, remplissant parfaitement son office. Un barrage s’était rompu cette nuit-là, quelque chose s’était purement et simplement brisé, fêtu de paille au vent, sous l’acharnement de quelque plume macabre s’amusant de sa vie comme l’on torture une mouche en lui arrachant les ailes.
La mouche avait-elle perdu ses ailes ou les avait-elles déployées?
"Ce qui ne tue pas rend plus fort.", Expression volée par Nietzsche à Goethe. 1er avril 2010 Minuit sonna, quelque part, au cœur de la nuit qui semblait ne pouvoir stopper l’activité de Wall Street. Non, ici, où seul régnait la loi de l’argent, le rythme naturel de la Terre ne semblait pouvoir en affecter le cours. Au quatre-vingt-treizième étage la lumière éclairait la silhouette obscure dont le regard scrutait la ville, pensif, pâle reflet d’un éclair qui fit vibrer de son tonnerre les vitres des immeubles alentours, glas précédent le crépitement d’une pluie se faisant vite battante, brouillant cette vague vision qui lui occupait l’esprit. Une tête se secoua, comme pour chasser quelque songe qui tournait, encore et encore alors que la silhouette s’abattait, nonchalante, au cœur du fauteuil, expulsant comme dans un soupir les particules d’air qui s’étaient infiltrées dans sa mousse.
L’habituel va-et-vient d’un stylo tournant entre ses doigts vint prendre le relai de sa contemplation désintéressée alors que les souvenirs glissaient comme l’eau de quelque ruisseau entre ses doigts. Trois ans. Cela lui paraissait si long qu’une vie semblait s’être écoulée, et pourtant si proche. L’image rémanente d’un corps, déjà froid, trônant sur un parquet inégal et mal entretenu lui frappa la rétine à l’instant où un éclair venait offrir son indésirable lueur au travers de la pièce. Le tonnerre frappa avec l’égal écho au moment où le stylo rebondit contre le bureau, tirant un grognement à son propriétaire. Décidé à le laisser choir là, comme il l’avait fait du corps trois ans plus tôt, il se passa les mains sur le visage en poussant un soupir las.
Il n’était pas du genre nostalgique, mais chaque année, cela le frappait plus sûrement que n’importe quelle autre sensation. Durant ces mille quatre-vingt-quinze jours, il s’était plongé dans la tâche, décidé à noyer toute sensation, tout sentiment, tout ressenti dans un travail acharné pour accomplir cette vision de désormais douze ans plus tôt. Et cela n’était pas sans réussite, loin s’en fut. Comme s’il avait fallu trouver une raison, une justification à cette mort inutile. Vingt-six mille deux cent quatre-vingt heures où il avait brillé, trompé, trahi, profité, détruit et bâti. Tout prétexte avait été bon pour servir son ambition. Il fallait qu’il devienne “quelqu’un”. Que sa vie soit moins insipide que ses mouches noires qu’il voyait voguer, courant sous la pluie en contrebas.
Entré par la grande porte d’une entreprise “New-tech” comme ils s’amusaient à l’appeler, il s’était joué de la concurrence, usant de ses talents pour revendre au prix fort brevets et inventions, comprenant vite que dans un monde aussi impitoyable que celui-ci, l’argent lui-même était surfait. Le savoir, c’était le pouvoir. Se faisant très rapidement un nom, Lazhar Stark avait créé un petit empire d’influence, accumulant les millions comme autant de petits espions venant servir ses intérêts. Solitaire, il vivait pour sa tâche, ne s’accordait d’aucune familiarité que l’on put utiliser contre lui. Dévorer ou être dévoré, c’était la loi de ce petit monde. Une loi qui lui allait très bien. Une OPA hostile après une autre, il avait fait sombrer des entreprises, rachetées à bas prix, revendues en pièces détachées, utilisées comme autant de prises au mur permettant d’escalader toujours plus haut sur l’échelle de sa vie. Ce barrage qui avait cédé, ce jour fatidique où la seule accroche familiale qui lui avait été fournie lui avait à son tour été arrachée, l’avait emporté sur le fleuve tumultueux de sa vie trépidante. Il n’était pas même allé au procès de son enfoiré de meurtrier de beau-père. Il savait que la justice ne serait pas obtenue par ce biais. Il ne s’en était pas donné la peine.
L’index s’écrasa sèchement contre le bouton au coin du bureau, une voix s’élevant, sépulcrale à ses oreilles. Il répondit, laconiquement, bloqué dans ses pensées.
Dans cinq minutes.
Il coupa la communication avant même de recevoir une réponse. Des pions. Rien que des pions, il n’avait que faire de leurs ressentis tant qu’ils faisaient leur travail. Et on ne restait jamais longtemps dans son entourage si l’on était capable de le faire correctement. Se redressant, les roulettes du fauteuil crissèrent alors qu’il glissait sur le parquet sans autre forme de considération. La veste vint ceindre ses épaules alors que la poignée s’actionnait déjà pour l’extraire de là. La lumière chaude des bureaux l’auréola alors que d’autres tardifs faisaient du zèle, espérant surement s’attirer ses bonnes grâces. Peine perdue. Bosser pour Stark offrait une perspective de carrière… Pour le moins intéressante, mais le jeune entrepreneur ne donnait dans le social que lorsqu’il en voyait l’intérêt.
Le chauffeur ouvrit la porte sans un mot, habitué à la réserve de son patron, et rapidement la voiture se mit à défiler dans les rues colorées, bariolant ses vitres, venant distraire les iris d’un ciel d’été qui suivaient distraitement leur oscillation. La ville était bondée, comme à son habitude, autant d’inconnus qui l’indifféraient totalement. Il souffla du nez alors qu’il reconnaissait les devantures annonciatrices de son arrivée prochaine. Les pneus crissant encore de l’action des freins, la portière s’ouvrit pour libérer les pas de Lazhar alors que la fureur palpitait au travers de chaque fibre de son être, le trop plein réclamant une fois de plus d’être libéré au risque d’encombrer par trop ses pensées pour fonctionner.
La porte de l’immeuble se referma sur sa silhouette alors que les marches de l’escalier craquaient sous sa démarche sous les lumières tamisées ornant les murs grisâtres. Le cliquetis des clefs heurtant leur montant vint faire craquer la serrure, la porte s’ouvrant, elle, sans un grincement. Le contrejour de cette silhouette élancée, ténébreuse, comme auréolée de cette rage qui le poussait en avant, s’offrit de l’occupante des lieux. La porte se ferma derrière lui, dissimulant à tout individu extérieur la vue de cette peau d’albâtre percluse d’une chair de poule visible d’ici, l’ultime éclat des lumières extérieurs faisant scintiller le métal des attaches retenant les cordes qui la tenaient en croix, un mince filet de sueur froide se glissant de son dos dans l’anticipation de ce qui l’attendait, un souffle court s’échappant de la petite ouverture qu’offrait le baillon, alors que le coeur battait la chamade de ce mélange de délice et de crainte mélangés.
Toute pression se devait d’être dûment évacuée.
"La roue du destin tournera toujours pour ceux qui ont la volonté de la forcer à le faire.", Emmanuel Kant. 1er avril 2015 Les réacteurs s’allumèrent et très vite la carlingue se mit à vrombir. L’habitacle, jeté dans une placide pénombre propice aux songeries laissa son propriétaire tout au loisir de ces atermoiements de l’esprit. Cinq années de plus l’avaient vu métamorphosé. Cette rage avait peu à peu été canalisée derrière un masque d’orfèvre qu’il maitrisait désormais à la perfection. Affable, sociable, charismatique.. Orateur, même, il n’avait eu de cesse de bondir d’étapes en étapes. Homme d’affaire émérite, son entreprise vibrait comme une des multinationales les plus brillantes. Connu pour être impitoyable mais récoltant les fruits de ses efforts, il s’était bâti un véritable petit empire. Il avait fait du savoir son oeuvre, collectant chaque perle d’information de droite, de gauche, jouant de bourse comme d’invention, écrasant ses opposants tant et si bien qu’il ne souffrait désormais guère de concurrence. Il ne comptait plus les entreprises de son réseau mais la mécanique était désormais si bien huilée qu’il n’avait plus besoin de s’y consacrer par tant.
Ce fut à l’aune de cette constatation, quelques six mois plus tôt, qu’un nouveau bouleversement s’était, lui semblait-il alors, gaussé de lui. Deux “gentilhommes” pour prendre un terme aussi éloigné que possible de celui qui lui vint alors se présentèrent à sa villa en bordure de la ville avec une histoire abracadabrante. La réalité est simple : pour peu que vous ayez de l’argent et du pouvoir, tout un chacun est prêt à inventer n’importe quelle histoire pour grignoter un tant soit peu de ce que vous avez bâti. La porte leur avait été prestement fermée au nez, claquée de sorte à leur exprimer le grand cas qu’il faisait de leurs élucubrations. Retourné à ses occupations, cela lui était néanmoins resté en tête. Encore. Et encore. Incapable de se concentrer sur la gente compagnie qui s’offrait à la morsure de son fouet nocturne, il l’avait congédiée sans coup férir. Broyant du noir, il enfila une tenue civile et s’élança en troisième convoi de la villa pour aller courir dans les bois avoisinants, cherchant à faire le tri dans tout cela.
Il se rappelait la scène, l’expression des deux hommes. Son instinct avait tendance à ne pas le tromper. Son coup de sang et sa manière de les congédier ne lui ressemblaient pas. Pourquoi avait-il agi avec autant de hargne? Grognant il accéléra, laissant son souffle s’écrémer alors que ses poumons se transformaient en une fournaise haletante. Il finit par s’arrêter, s’adossant à un arbre, les yeux fermés, s’apercevant que de l’eau ruisselait sur son visage. Ouvrant les yeux, il réalisa qu’il s’était mis à pleuvoir et cette moiteur nocturne… parvint finalement à rasséréner ses pensées. Il repensa à sa mère, au secret qu’elle faisait de son père. Aurait-ce été quelqu’un d’aussi puissant? Pourquoi aurait-il ainsi, avec autant de ressources, délaissé la mère de son enfant? La rage bouillonnait, pulsant dans chaque fibre de son être.
Elle était morte à cause de lui. Sa souffrance, sa vie, était à cause de lui. Cela devait être faux. Ou il devrait détester l’homme qu’il n’avait jamais connu.
Il s’était toujours dit qu’il devait avoir une bonne raison. Ou peut-être était-il mort? Mais ce scénario ne lui laissait aucune excuse. Il ne s’était même pas aperçu dans l’entrefait que cet accès de rage lui avait fait asséner un violent coup de poing contre l’écorce rugueuse de l’arbre, lui égratignant les phalanges. Il lui fallait en avoir le cœur net.
De retour dans l’avion, ses souvenirs vinrent se ponctuer des évènements qui avaient suivi. Il lui avait fallu du temps, mais il avait fini par entendre raison. Le fait qu’à ce jour il commençait à tourner en rond, arrivé au bout de ce qu’il voulait bâtir, manquant d’un but, d’un exutoire avait dû être pour quelque chose dans l’écoute qu’il avait bien voulu leur accorder finalement.
De solitaire, aux plaisirs éphémères, empereur isolé du siège de sa propre bâtisse, il se découvrit membre d’une famille plus étendue qu’il n’aurait pu l’envisager. Et… finalement… ne s’en porta pas plus mal, à tout y réfléchir.
Le temps de mettre ses affaires en ordre et il avait suivi ses frères, curieux de découvrir ce mystérieux héritage qui l’attendait à l’autre bout du monde. Une vibration dans sa poche attira son attention, tirant le portable où les quelques mots s’affichaient sobrement.
C’est fait.
L’écran s’éteignit alors que le message disparaissait, comme n’ayant jamais été envoyé. Après tout, quand bien même il ne soit si rare qu’un prisonnier soit tué dans une rixe sitôt sorti de prison, il fallait éviter tout lien avec lui. Poussant un soupir de contentement alors que cet ultime lien qui le retenait ici était coupé il vit, alors que l’avion s’élevait, les lumières américaines disparaître peu à peu derrière les nuages alors qu’il s’ouvrait un nouveau chapitre de sa vie.
"Une vie satisfaisante ne s’offre d’elle-même, elle s’arrache à coups de crocs à la jugulaire de la destinée.", Stephen King. 1er avril 2024 Neuf années de plus étaient venues s’ajouter au sablier de son existence. Et elles n’étaient pas des moins passionnantes, loin s’en faut, riches d’un foisonnement d’opportunités, de plaisir et de nourriture tant pour l’esprit que pour son ambition dévorante de dévorer cette vie qui lui était offerte. De semi-orphelin, à pauvre hère des runes de Brooklyn, à riche entrepreneur, à PDG de grande multi-nationale, à Emir d’une des plus grandes nations du monde. Ce sourire de machiavel vint lui dévorer les lèvres à cette pensée alors qu’une fois de plus le vrombissement de réacteurs d’un jet privé l’extrayaient à la gravité d’une terre qu’il considérait désormais comme la sienne. Lorsque l’on ne possède aucune attache affective, il est étrange comme il est aisé de pouvoir se réimplanter totalement ailleurs. Ce fut néanmoins l’expérience qu’il vécut, alors que découvrant cet esprit fraternel il s’était découvert une nouvelle vocation à leurs côtés, à l’aune de la surprise qui fut la sienne de partager ainsi le pouvoir en leur compagnie à la tête de la nation.
Il avait même découvert l'existence d'un frère jumeau, comme une ultime touche de caprice de la part du destin, qu'il découvrait depuis lors, bien que ne le considérant, du moins pour l'heure, pas plus proche que ses autres frères et soeur. Tout reste encore à écrire.
Consacré à la tâche depuis lors, l’aisance de celui qui avait tant appris par le passé et qui pouvait bénéficier de l’apport non négligeable de l’entreprise dont il avait délaissé la gestion mais pas les avantages, il avait fait à merveille à leurs côtés… En affaires comme à d’autres titres, partageant toutes sortes de plaisirs que cette condition avait su lui apporter. Il avait découvert un tout autre niveau de pouvoir que le seul argent ne permettait d’obtenir, et se complaisait dans les appétits qu’il pouvait satisfaire par ce biais. Cette rage au ventre était toujours là, des pulsions, une violence intérieure qui semblait ne pouvoir s’éteindre à la simple complétude d’ambitions ou de plaisirs plus intenses les uns que les autres. Il manquait une composante de son existence, mais n’en avait cure, ayant trouvé un équilibre en soi. S’en privant néanmoins quelques temps, il avait fait passer les affaires avant le reste, décidé à, durant la moitié d’une année, partir représenter son pays et ses intérêts à l’étranger, tissant de nouveaux accords, déployant des trésors d’ingéniosité pour les profits des siens. Six mois pour établir, créer, avant de s’en revenir chez lui et pouvoir goûter plus encore à tout ce dont il se serait privé durant ce temps. Mais avec le pouvoir venait d’équivalentes responsabilités que son rôle envers son pays ne lui permettait de délaisser plus longtemps.
Son départ n’aura pas été sans laisser quelques… surprises aux bonnes personnes. Un fin sourire épousa ses lèvres à cette pensée, faisant briller son regard de malice.
Son retour promettait d’être… pour le moins délicieux.
"A toute pulsion retenue, elle sera d’autant plus extrême lorsque l’on y est réexposé.", Elisabeth Bathory. Octobre 2024 Le crissement des pneus frottant le bitume accueillit le jet au retour du petit prince. Une fête avait été préparée en son honneur, où il avait convié tout le petit gratin de son réseau… A tout le moins ceux à qui l’on avait ouvert la possibilité de découvrir, pour l’essentiel de longue date, le harem. Après avoir été à l'œuvre avec autant… d’ardeur, il avait grande hâte de pouvoir s’adonner à de touts autres vices. Un sourire de machiavel ornait ses lèvres alors que l’homme désormais dans la fleur de l’âge et pleinement développé au regard de ses pulsions les plus sombres s’apprêtait à jouir de ses prérogatives avec plus d’intensité qu’il ne l’avait jamais fait.
Ses frères lui avaient manqué. Sa terre lui avait manqué. Ses vices, plus encore.
Sherine Al Saoud
Tortionnaire Royal {Staff}
✥Arrivée dans le Harem » : 27/03/2024 ✥Coup de fouet » : 227 ✥ Points : 3717
20.10.24 10:02
Bienvenue parmi nous mon bel amant n'hésite pas si tu as la moindre question
✥Arrivée dans le Harem » : 19/10/2024 ✥Coup de fouet » : 181 ✥ Points : 2829
20.10.24 10:03
Je suis preneur qu'on se MP un petit peu pour que tu me mettes au fait de leur relation & co afin que je puisse m'assurer d'y accoler au mieux . Hâte d'échanger avec toi !
Talulah De Beauffort
Martyr Insoumis {Staff}
✥Arrivée dans le Harem » : 28/07/2024 ✥Coup de fouet » : 113 ✥ Points : 484
20.10.24 10:50
Bienvenue votre altesse.
Au plaisir de vous combler comme vous le souhaitez
Lazhar Al Delkhalek
Famille Royale
✥Arrivée dans le Harem » : 19/10/2024 ✥Coup de fouet » : 181 ✥ Points : 2829
20.10.24 11:12
Owiiiiiiiiii !
Léna Aslanova
Tortionnaire
✥Arrivée dans le Harem » : 16/10/2022 ✥Coup de fouet » : 214 ✥ Points : 1060
And then I learned the truth, how everything good in life seems to lead back to you. And every single time I run into your arms, I feel like I exist for love... Only for love
✥Arrivée dans le Harem » : 19/10/2024 ✥Coup de fouet » : 181 ✥ Points : 2829
20.10.24 17:13
Merci beaucoup !! Grand hâte d'entamer enfin le RP avec vous tous !
Alice Brown
Garde {Staff}
✥Arrivée dans le Harem » : 27/06/2021 ✥Coup de fouet » : 5743 ✥ Points : 23350
20.10.24 18:39
Bienvenue sur HOC ! Contente de voir débarquer Laz
En ce qui me concerne je joue Inaya, la martyre inaccessible de ton cher frère Aksel, Adam, le garde royal, amant et Maître BDSM de la vilaine Sherine qui te fait déjà les yeux doux et enfin, Karam, ton cousin avec qui, Laz n’a pas de bons rapports puisque Karam et Aksel, c’est la guerre depuis longtemps xD
Hâte de te croiser peut-être pour décembre ou janvier, je suis en pause jusqu’au mois de décembre c’est pour ça.
✥Arrivée dans le Harem » : 19/10/2024 ✥Coup de fouet » : 181 ✥ Points : 2829
20.10.24 18:40
Hâte de te croiser aussi ! Merci beaucoup ^_^
Alice Brown
Garde {Staff}
✥Arrivée dans le Harem » : 27/06/2021 ✥Coup de fouet » : 5743 ✥ Points : 23350
20.10.24 21:24
Et j’ai oublié Erik, chirurgien de toute ta famille et avec qui, il a pour la plupart de bons rapports du coup, Erik te confie sa petite [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Prends en soin :P
✥Arrivée dans le Harem » : 19/10/2024 ✥Coup de fouet » : 181 ✥ Points : 2829
21.10.24 9:35
Oh mais j'y compte bien !
Alice Brown
Garde {Staff}
✥Arrivée dans le Harem » : 27/06/2021 ✥Coup de fouet » : 5743 ✥ Points : 23350
21.10.24 13:09
Tu es validé.e !
Félicitation !
Tu es Membre de la Famille Royale
Les portes du Harem s'ouvrent enfin à toi, tu peux désormais faire ta place dans notre royaume corrompu ! Afin que tu puisses t'y retrouver, voici les topics indispensables:
✥ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avec tous ses liens utiles. ✥ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ✥ Faire ta fiche de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ✥ En recherche d'un RP ? C'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que ça se passe. ✥ La zone des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour tout ce qui sera nécessaire à ton personnage et à ta vie sur le forum. ✥ Ce n'est pas ton premier compte ? Alors n'oublie pas de faire ajouter ton personnage dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ✥ Ton personnage travaille pour le harem? recense le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si c'est un garde (royale) ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] s'il fait parti des tortionnaires personnels où s'il est un esclave. ✥ Si tu as créé une famille royale qui n'était pas présente sur le forum et que pour cela, tu as dû modifier l'histoire du pays en question, n'oublie surtout pas d'aller sur ce [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].